judy && andrea

« rien n'est terminé, je suis certain que l'on peut recommencer »

Les jours passaient, j'en avais marre, de plus en plus marre, le temps passe mais rien n'as l'air de s'arranger, on me dit souvent que je dois simplement laisser tomber, l'oublier, mais comment est-ce qu'on peut oublier la femme qu'on aime ? Ceux qui disent ce genre de chose ne doivent certainement jamais être tomber amoureux.

Judy et moi nous croisions tout les jours, tout les jours c'était la même chose, ont se salue et on continue notre route, je la vois rire, et je dois me contenter d'être au loin. Bien sur rien de tout ceci n'est visible, je me contente de sourire, je la laisse vivre sa vie, elle mérite d'être heureuse mais je n'arrive pas à continuer, moi, de vivre ma vie.

Aujourd'hui c'est décider il fallait que je lui parle, j'ouvris les yeux et éteignis enfin mon réveil, ma mère venais de crier pour la huitième fois qu'il était l'heure de me lever et puis elle n'avait pas tort après tout. Je me précipita dans la salle de bain pour une douche rapide, je m'habilla tout aussi rapidement.
Comme tout les matins maman avait préparer mon déjeuner, je souris, me servit une tasse de café et partit en claquant la porte. Je ne savais pas à quoi je devais m'attendre aujourd'hui, mais je reprenais ma vie en mains. Je voulais récupérer Judy, je sais qu'elle fréquente des gens, une personne en particulier mais elle ne peut pas déjà avoir tracé un trait sur notre histoire, après tout nous étions fiancés non ?

Quand j'arrivas au lycée je chercha du regard cette silhouette si familière mais ne la trouvas pas, je demanda à quelques amis s'ils ne l'avaient pas vue et personne ne l'avait remarquer ce matin, j’espérais qu'elle n'était pas malade !
Il me fallut attendre un intercours dans l'après midi pour la voir, la dame de coeur, je souris et me pointa derrière elle, j'allais jouer l'enthousiasme et on verrais bien comment elle réagis. Nous n'avions jamais plus vraiment parler depuis notre séparation et elle me manquait, même simplement parler avec elle était un plaisirs.

•• Salut Judy ! Comment ça vas ?

J'avais poser ma main sur son épaule pour freiner sa course, elle devait déjà se rendre à son prochain cours, si nous échangions quelques mots ils seraient certainement brefs, mais ça sera déjà un grand bonheur que de pouvoir entendre sa voix et qui sait peut-être même arriverais-je à la faire sourire ?