with Anne Hathaway as Constance Evans, Robert Buckley as Dylan Henson, Reese Witherspoon as Sawyer Hamilton et Dakota/Elle Fanning as Militine La Tour Dubois.

Je tentais vaguement d’arranger mes cheveux d’un geste de la main avant de renoncer. A quoi bon tenter l’impossible, pas vrai? Me fixant au travers du large miroir, je laissais échappé un soupire : j’avais l’air d’un mort vivant avec mon teint pâle et mes yeux cernés comme si je n’avais pas dormi depuis deux semaines - ce qui n’était peut-être pas si loin de la vérité que cela. Il y eut un claque dans mon dos, tandis que Dylan installait le pied de sa caméra vidéo. Lorsqu’il eut fini, il se retourna et s’exclama : « allez la star, c’est à ton tour! ». Je soupirais une nouvelle fois, et pris d’un pas traînant la direction du salon ou je me laissais tomber sur le canapé devant lequel se tenait désormais dresser l’appareil. « tu peux me rappeler pourquoi je fais ça? ». Le blond leva les yeux au ciel et dit : « car tu as dis que tu m’aiderais avec mon projet de capsule temporelle, aussi il ne me manque plus que toi sur cette fichue bande, donc t’es gentil, tu me fais disparaître cette mine de chiot battu et tu racontes ta vie ou ce que tu veux à ce petit bijou, ok? ». Il tapota affectueusement l’engin et sortis de la pièce avant que je ne puisse protester. Lâchant un énième soupire, j’allumais l’enregistrement. Me raclant la gorge, je fis un signe hésitant de la main à l’objectif, puis dis : « bonjour euh… qui que vous soyez, j’espère que tout va bien chez vous, enfin je veux dire, à votre époque, moi quand vous verrez ça, je serais sûrement mort donc… Je n’irais plus nulle part! ». Je lâchai un rire gêné et bref, n’en croyant pas moi-même devant l’effet pitoyable de mon humour. Prenant une grande respiration je poursuivis : « Si je suis là… c’est parce que je suis trop généreux à priori mais officiellement, c’est pour vous faire partager mon expérience de la vie, donc j’espère que vous êtes bien assis, car l’histoire qui va suivre risque de vous paraître dingue mais… c’est mon histoire… ».

CHAPITRE I • parce qu’il faut un début à chaque histoire…

Cette histoire commence comme toutes les autres. La rencontre de deux personnes provenant de ce même milieu aisée et snob que se trouve être l’Upper Class. Des anciennes familles bourgeoises dont la plus grande fierté était de pouvoir afficher leurs arbres généalogiques depuis Mathusalem - au moins! A l’époque, les mariages arrangés étaient encore monnaie courante, aussi se fut dans cette voie que l’on présenta la jeune et jolie, Fleur de Bourbon à Erwan La Tour Dubois. Ils n’avaient rien en communs, et même à priori, rien pour être heureux ensemble et pourtant, par les vœux de leurs parents respectifs, ils se marièrent. Quelques temps plus tard, plus précisément le six juin mille neuf cent quatre-vingt trois, je pointais le bout de mon nez : Maxime Caliban Bourbon La Tour Dubois. Un nom à rallonge comme on les aimait tant dans cette société et qui fit fureur dans l’école privée ou je fis mes années de primaires. Si j’entretenais une relation tout à fait normal avec ma mère, je ne voyais mon père que très rarement, celui-ci étant bien trop occupé à dépenser la fortune familiale en excentricité et à courir les femmes pour se soucier de son seul et unique héritier. J’étais très apprécié par tout le monde, ma mère me répétait sans cesse que c’était parce que j’avais du charisme et que j’étais quelque un de gentil ce qui poussait les autres à vouloir être mes amis. Pour ma part, je n’en croyais rien ayant été confronté à la vérité un soir lorsque je sortais de l’école et que je croisais l’un de mes soit disant « amis » entrain de se plaindre à son père en disant qu’il ne voulait plus être obligé de jouer avec moi, ce à quoi il ajouta que j’étais bizarre. J’avais beaucoup pleuré ce soir là. C’était la seule réelle fois ou mon père m’avait adressé la parole. Il m’avait regardé avec une moue méprisante et m’avait dis : « soit un homme, bon sang! ». Je n’ai plus jamais pleuré après ce jour là. C’était le début de mon histoire. Un peu le début de la fin…

CHAPITRE II • parce qu‘il y a toujours un tournent dans nos vies qui changent tout…

Peu de temps après mes dix ans, ma mère a décidé qu’elle en avait assez de son infidèle et irrespectueux mari et a demandé le divorce ainsi que ma garde. Si l’argent avait été soigneusement partagé par mes très chers grands-parents, ce n’était pas mon cas et étant le seul héritier du nom, mon paternel fit tout pour me récupérer, débat que je coupais net un jour en avouant à l’avocat que cet homme n’était qu’un inconnu pour moi, qu’il ne m’avait jamais traité comme son fils. L’expression de rage sur son visage m’avait été d’une satisfaction inimaginable. Il avait donc bien sur, était prononcé que j’habiterais avec ma mère, à notre plus grand bonheur à tout les deux. Celle-ci décida qu’il était mieux pour nous de prendre un nouveau départ et c’est ainsi que nous déménageâmes en amérique. Plus précisément, dans la petite ville de Mystic Fall’s. Elle avait ainsi acheter une sorte de vieux Manoir entourait d’une fermette dans un coin reculé que les habitants nommaient « La Colline ». Si au début, le fait que je sois français attira au tant de monde dans mon nouveau collège que mon nom dans mon ancienne école, mon lieu d’habitation et mon caractère discret et mystérieux les fit vite déchanter. Très bientôt, je me retrouvais solitaire - à l'exception près de ma petite voisine de quatre ans ma cadette avec qui je passais de longue soirée à regarder les étoiles. Les autres me considérant avec des regards en coin et des messes basses lorsque je passais dans un couloir. Ils avaient peur de moi… Et dans un sens, ils n’avaient pas tord…

« Ok, euh, je fais juste une pause pour vous montrer quelque chose, parce que sinon, vous allez me prendre pour un fou ou croire que je moque de vous pour la suite donc… Juste… Regardez… ». Attrapant une bougie qui se trouvait sur la petite table de bois, j’y fixais mon regard… Et celle-ci s’embrasa. La montrant sous toutes les coutures à la caméra, je la posais ensuite sur la table et d’une simple indication de mon esprit, celle-ci se décolla du bois et vint flotter au niveau de mes yeux, dans le vide le plus totale, comme suspendu dans les airs. Ramenant mon regard sur l’objectif, j’ajoutais. « Je suis un sorcier. Pas comme Harry Potter - vous connaissez Harry Potter au moins? Euh… Je n’ai pas de baguette, c’est dans mon sang, dans les gênes… Une version amélioré… ou défectueuse de l’être humain, selon les points de vues… Peut-être que j’ai passé trop de temps à chanter lors des Margaritas de minuit avec mes folles de tantes, j’en sais rien… Enfin bref, reprenons… »

J’avais onze ans la première fois que j’ai fais de la magie. Je m’étais énervé contre un autre garçon qui se moquait d’une fille plutôt bien portante et il avait fini trempé de la tête aux pieds par le robinet de sa table de travail en biologie. Je n’avais pas été surpris. Car si ma mère refusait de faire usage à la magie, c’était loin d’être le cas de mes tantes, Pernelle et Coraline. Des vieilles folles pour certains, les tantes les plus cool du monde pour moi. Elles m’apprenaient des tas de choses que se soient sur les sorts, les potions… ou les cocktails réussis, je n’avais jamais regretté l’une de leur visite chez nous. Développant mes pouvoirs, mes dons appelez ça comme vous le voulez, je me découvris une véritable affinité en ce qui concernait le fait de métamorphosé, ou plutôt de m’animorphosé. Ainsi, je possède l’étrange capacité de me changer en n’importe quel animal, à n’importe quel moment en un battement de cils. Pour ce qui était de prendre l’apparence d’un autre être humain, j’avais essayé une seule et unique fois et j’avais préféré ne pas ressayer, cela n’ayant pas était un véritable succès… Pas du tout, même.

CHAPITRE III • parce qu’il faut une quête à chaque héros…

Ce fut certainement pour moi, le moment de partir à l’université. Mes notes étaient excellentes et j’avais obtenu mon diplôme avec mention ce qui m’avait valut de nombreuses réponses positives à mes candidatures. Je choisie ainsi Berkeley, en Californie du côté de San Francisco ou je devais étudier la biologie et la médecine. Ayant choisi d’intégrer le campus même, je ne me serais jamais douté en le voyant pour la première fois, que mon colocataire deviendrait mon meilleur ami… Lui non plus d’ailleurs, je croix étant donné que je l’avais dérangé alors qu’il s’envoyait en l’air avec une jolie blonde - que je n’avais jamais revue par la suite.

« Et pourtant, la preuve est là. Cette vidéo est un de ses projets. Il a fait des études de cinéma le pauvre… Et à vingt six ans, il a juste deux films qui ont remporté plusieurs festivals… Il est très doué… On ne dirait pas pourtant à le voir comme ça… ». Je me reçu un cousin du fauteuil un peu plus loin sur la tête de la part de mon ami qui passait justement par là. Laissant échapper un rire, je repris vite mon sérieux et ajoutais avec ferveur : « Votez Dylan Henson! »… Et j’éclatais de rire, littéralement plié en deux par la tête du blond qui coupa la caméra. Je la rallumais dix minutes plus tard. «  Hum… désolé pour cette petite coupure. Je reprends, donc… ».

Je ne me souviens plus exactement comment ou même quand nous étions devenus amis, mais une chose est sur, je ne regrettais rien. Nous formions un petit trio assez étrange d’ailleurs. Je dis un trio, car en plus de Dylan, se tenait également toujours avec nous, une jolie petite blonde, pleine de vie - enfin façon de parler, mais je vous expliquerez ça plus tard - du nom de Sawyer Hamilton. Une étudiante en histoire de l’art que j’avais rencontré lors d’une nuit d’étude à la bibliothèque universitaire. Nous étions inséparables et nous le sommes toujours. Mais le plus important, se fut également à l’université que je la rencontrais. Constance Evans. Une brunette aux grands yeux bruns qui partageait mes cours de médecines. J’avais toujours pensé que les gens qui croyaient aux coups de foudre étaient soit stupides, soit exagérément romantique. Et pourtant. C’était bel et bien ce qui m’était arrivé ce jour là, alors que notre professeur nous avait réuni pour un TP au laboratoire. Lorsque nos regards c’étaient croisés, j’avais ressenti comme une décharge électrique. J’étais tombé amoureux.

CHAPITRE IV • parce qu’il faut une princesse dans chaque histoire…

Nous sortîmes tous diplômés de Berkeley. Après quatre longues années cohabitations, nous ne pûmes nous résoudre à nous séparer. Quatre ans, que nous filions le parfait amour avec Constance. Enfin parfait, rien n’est pas parfait parait-il. Il y avait bien sur eut des hauts et des bas, mais rien que nous n’ayons pas su surmonter. Ensemble. Ils étaient les seuls personnes sans lien de sang avec moi à connaître mon secret, mais je n’étais d’ailleurs pas le seul à en posséder un. Notre chère et douce petite Sawyer, n’avait en réalité pas une vingtaine d’années mais plutôt plus d’une centaine. C’était une vampire. Nous l’avions découvert par hasard lors d’une soirée lorsque Dylan c’était coupé à la main. Si je ne l’avais pas retenu grâce à mon don, elle l’aurait certainement vidé de son sang… Et depuis ils sortaient ensemble. La logique de l’être humain est plus impénétrable que les voix du seigneur, avais-je dis Constance qui restait septique. Nous nous étions installés dans un appartement à San Francisco et je l’avais demandé en mariage peu après.

La porte d’entrée s’ouvrit et une tornade blonde me sauta soudainement dans les bras. « Papa! ». Serrant la blondinette dans mes bras, je l’installais sur mes genoux avant de reporter mon regard sur la caméra. « Je vous présentes mon trésor, ma fille, Militine, dis Mili, La Tour Dubois. Tu dis bonjour, Mili? ». Je me penchais et déposais un baiser sur sa joue tandis qu’elle exécutait joyeusement de grands signes en direction de l’objectif et qu’elle gazouillait un « bonjour. ».

Constance était tombé enceinte alors que nous étions encore à l’université et il n’avait jamais été question de la faire avorter. Aussi, Mili était-elle né lors de notre seconde année d’étude à Berkeley ou sa bouille d’ange avait fait fureur. Étant donné que nous travaillons en tant qu’interne à l’hôpital avec C., Sawyer nous rendait service en jouant les baby-sitters. Tout allait bien, jusqu’au jour ou la vie à du se rendre compte de ce qu’elle nous avait donné… Et a décidé de nous le reprendre.

CHAPITRE V • parce que toutes les histoires ne finissent pas par « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants »…

Un soir, alors que nous étions entrain de préparer le dîner, elle c’était simplement effondré. D’un seul coup d’un seul. Alors qu’elle riait quelques minutes plus tôt, elle avait laissé tombé le plat qu’elle tenait qui c’était brisé sur le sol et elle l’avait suivi. J’avais tout tenté, j’avais appelé les urgences et j’avais essayé tout ce que je connaissais pour la réanimer mais rien à faire. Je m’étais retrouvé impuissant dans la salle d’attente de notre hôpital, ma fille en pyjama dans mes bras qui c’était endormi. Et finalement, au bout de six longues heures d’opération, le verdict était tombé. Constante Evans La Tour Dubois nous avait quitté, le six février deux mille neuf, à exactement une heure treize du matin. Ça avait été le pire jour de mon existence. Le chagrin était tel qu’il était douloureux physiquement. Il m’avait fallut des jours pour accepter la simple idée que la femme de ma vie était morte. Que je n’avais pas su la sauver. Lorsque je refis surface avec suffisamment de clarté pour réfléchir, je décidais d’abandonner la médecine - à quoi bon puisque je n’avais pas su sauver celle que j’aimais - et après plusieurs mois d’indécision, de repartir pour Mystic Fall’s au Manoir de ma mère avec ma fille. Fleur c’était renseigné et avait réussi à me dégoter un poste de professeur remplaçant au lycée de la ville.

« Et voilà. Nous sommes la vieille de notre départ pour Mystic Fall’s… Oh et j’avais oublié, nous sommes exactement le deux septembre deux mille neuf. Je m’appelle Maxime La Tour Dubois et tout ce que je peux conseiller aux générations futurs, c’est de profiter de l’instant présent, car lorsque la vie se rend compte de ce qu’elle vous a donnait, elle a très vite fait de le reprendre… ». Sur ce, je coupais l’enregistrement, laissant la fameuse « neige » prendre ma place sur le petit écran…

LA CAPSULE TEMPORELLE - LE MAKING OF!!

M’apercevant que Dylan avait haussé un sourcil derrière la caméra, je me tournais vers lui. « Quoi tu ne connais pas Mais si! C’est sûrement ma tradition préférée, c’est mieux que Noël! Margarita de minuit! Yeh! Margarita de minuit! Yeh!… ». Je m’étais levé et dansais autour de la table à la même manière d’un indien faisant la danse de la pluie ( ou de Nicole Kidman et Sandra Bullock dans les ensorceleuses d’où mes chères tantes avaient pêchés le truc!). « Margarita de Miaouhh!! ». Le blond éclata de rire. « Tu nous fais le chat maintenant? Ha oui, c‘est vrai que c‘est ton animal préféré…». Je grommelais tout en me penchant pour me masser le gros orteil. « J’viens de me cogner contre le pied de table! ». Son rire redoubla tandis que je me laissais tombé sur le canapé. Il passa la tête devant l’objectif et me désignant s’exclama : « Voici la preuve vivante que ce n’est pas bien de boire les enfants! ». Je lui balançais un cousin dans le dos. Il coupa la caméra.

« Tu t’en sors ma chérie? ». Militine acquiesça d’un signe de tête, une expression très concentré sur le visage, ça petite langue dépassant entre ses lèvres pincés. Son pinceau à la main, elle le plongea dans de la peinture rose avant d’en appliqué une bonne couche un peu partout. Ce fut ce moment que choisi Sawyer pour rentrer dans la cuisine ou la petite laissée exprimer… son art. « Qu’est-ce que vous faites? ». Demanda-t-elle en déposant son sac de course sur le comptoir. « Je maquille papa pour le film de tonton! ». Répondit fièrement ma fille. Perplexe, la blonde que je ne voyais pas jusqu’ici contourna la table et écarquilla les yeux… Avant d’éclater de rire à gorge déployé! Lorsque les larmes commencèrent à lui monter aux yeux, j’attrapais de manière perplexe le petit miroir rose posé sur la table. « T’as vu! C’est bien, hin?! ». Contrastant avec mon jeans et mon t-shirt kaki simple mais de marques - mon visage était peinturluré de rose à joues, ombres à paupières violettes et autres cosmétiques de barbie. J’hésitais à répondre mais la Vampire me devança. « Oh oui! Tu es très BELLE comme ça, Max! ». Pour toute réponse, je lui tirais la langue, découvrant en passant le goût horrible du rouge à lèvres qui recouvrait les miennes…


« Qu’est-ce que j’aime bien? Euh… La musique, oui, j’aime beaucoup la musique, je joue de la guitare… Enfin je ne suis pas très rap américain ou français, le slam c’est pas mon truc non plus, R’N’B bof, le métal et le hard métal, non… ». Dylan qui me regardait les bras croisaient me coupa. « Ouais, enfin t’aime rien quoi?! ». Nous nous fixâmes dans les yeux quelques instants par défi durant de longues minutes. COUPER!

« Tu la trouve? »Je me glissais sous la table, là ou la bougie venait de tomber et me cogner à la mâchoire en me relevant. « Aïe! ». La douleur se fit aussitôt sentir, vive tandis que je me redressais à moitié. Le goût du sang sur la langue. Lorsque soudain, Mili arriva en courant dans le petit salon : « Papa! Papa! Papa! Regarde! J’ai perdu une dent!! ». Je pris d’une main la minuscule dent qu’elle me tendait en souriant tandis que l’autre était collé à ma mâchoire : « Oui, je croix que moi aussi… ». La petite arrêta de sautillait pour me regarder bizarrement. « Ca veut dire qu’il faudra que je partage l’argent de la petite sourie avec toi? ». Je laissais un "euh" en suspend tandis que Dylan éclatait de rire derrière son jouet. COUPER!

« I love you Elena! And, it’s because i love you… i can’t be selfish with you! ». Je lançais un regard humide et passionné à la caméra devant l’air troublé - voir traumatisé de Dylan. « Euh… ». Au même moment, une tornade blonde me sauta dessus et m’assomma avec un cousin. « Te moque pas de Damon! C’est mon chouchou d’abord! ». Je la regardais interdit tandis qu’elle croisait ses petits bras sur sa poitrine l’air féroce. Ma fille aime les bad boy… Au secours! …COUPER!

PSEUDO : choupa. AGE : 18 ans. AVATAR PRIS : jakesexygyllenhaal. COMMENT AS TU ATTERI ICI : par le bié d'une folle (hin, jer'?) CE QUE TU PENSES DU FORUM : vraiment magnifique, l'ambiance à l'air super et les membres actifs. FICHE : [x] Terminé [] En cours UN PETIT MOT : pas pour le moment.