Sujet: Evangeline's fiction Sam 2 Juil - 15:42 | |
| J'ai écris ça après avoir regarder Twilight et j'ai continuer. Elle n'est pas comme celles qu'on voient souvent elle est tel que je l'ai révée. Voici donc "Who I am" et je compte bien commencer une fiction sur Vampire Diaries nommé "In the Darkness". J'ai deja 7 chapitre de cette fiction là de twilight - Spoiler:
J'habitais une ville tranquille en campagne, à l'écart du bourg, dans une rue, dans une maison bien confortable. Mais cependant, je détestais cette vie. Je détestais cette campagne, trop calme. Il n'y avait rien, aucune vie, aucun loisir. Rien qui ne me correspondait vraiment. Ou du moins, rien qui pouvait essayer de me correspondre. Car moi, la vie que je voulais par dessus tout était absolument utopique. Elle était tout ce que je désirait plus que tout au monde. Mais bien sûr, je savais que ma vie ne changerait pas, car la vie que je me faisait en tête n'était rien d'autre qu'un rêve enfantin. Donc, je gardais en tête tous ces petits bouts de rêve et de magie pour moi-même et continuais à vivre paisiblement ma vie simple, et froide. Voilà comment je me résumais : à l'extérieure de moi, tout n'étais que simplicité et froideur, alors qu'à l'intérieure, ne reignait que rêve et magie. C'était cela qui se cachais dans mon esprit mélodieux. Tout les matins je me levais de bon pied, avec un peu de mal, certes. Je mettais ma robe de chambre pour aller manger seule mon petit déjeuner, pendant que ma famille dormait encore à points fermé. Je rangeais ma table et allais me débarbouiller, me coiffer, me parfumer et puis enfin, m'habiller. Une fois prette je partais au lycée, mon balladeur aux oreilles, d'un pas joyeux et entraînant. J'arrivais, puis j'attendais Pearl, l'une de mes plus grandes amies. Puis à la fin de la journée je rentrais chez moi, seule, d'un pas cette fois-ci, fatigué. Mais ce jours-là, je ne rentrai pas chez moi. Je marchai dans le sentier qui menait à ma maison, quand j'eu l'impression d'être suivis. Je me retournai, mais personne ne me suivait. Il n'y avait que moi et les arbres qui s'éloignaient peu à peu sur mon chemin. Ma veste traînait par terre, laissant des traces sur le sol sec. Nous étions en plein mois de Juin et l'été était bientôt au rendez-vous. J'étais en tee-shirt à manches courtes et la chaleur était accablante. je continuai ma route, d'un pas soucieux, jettant de temps en temps des regards derrière moi. Au bout de quelques secondes, je me détendai et cessai de me retourner me disant que j'étais complétement paranoïaque. Mais, je ressentis comme un frissons, un courant d'air, et eu comme l'impression qu'on chuchotait mon nom. Je me retournai, quelque peu anxieuse et regardai partout. Personne, toujours personne. Serais-je devenue folle, paranoe ? J'étais pourtant sûr que quelqu'un me suivait, et que cette personne m'avait appelée. Je fus sûr de moi quand de nouveau j'entendis mumurer :
"_Marine...Marine..."
J'hurlai de peur. Cette voix me glaça le sang, et mon coeur accelèra la chamade. Je tournai dans tout les sens, scrutant les alentours,épiant ne serait-ce qu'un mouvement, un bruit, un craquement. Mais non, rien, juste ce murmure, monotone et obscure. Alors, le vent commença à se lever, les arbres commencèrent à siffler, les nuages arrivèrent par masses gigantesques. Retenant ma jupe de mes deux mains, je hurlai, laissant tomber mon sac à terre. Je ne voyais plus rien, mise à part, une silhouette, s'approchant de moi d'un pas menaçant. Je reculai et plissai les yeux, cherchant à davantage appercevoir cet inconnu. Celui-ci, était un homme, vétu d'une cape. Je ne voyais pas son visage, encapuchonné. Seul ses yeux m'étaient tout à fais visible. Ils étaient... anormale, brillants, froid, d'une couleur qu'aucune paire d'yeux ne pouvait avoir. Ces yeux, ils étaient gris, mais d'un gris si brillant que l'on croyait qu'ils n'existaient pas. Je cessai d'hurler pour le contempler. Lui aussi me scrutait. Tout d'un coup, le vent se fit plus violent et je cachai mes yeux de mes bras, poussant un hurlement strident. Je ne sentais plus mes pieds sur le sol ferme. J'avais l'impression de voler, et le vents si violent me fit prendre conscience que j'étais dans une imense tornade. J'hurlai, appelai au secours, mais personne ne m'entendais. Je tournai, encore et encore, en me demandant quand ce calvère se finirait-il. Je voyait ma vie défiler devant mes yeux. Je voyais mes amis, ma famille : tout ceux qui m'étaient chers. Je ne voulais pas les quitter. Je ne voulais pas mourrir, pas maintenant, pas si jeune. Mais alors, tout à coup, mes peurs se dissipèrent et le vent cessa. Je ressentis le sol sur mes pieds et ouvris doucement les yeux, craintive. Je fut surprise que mes yeux ne décelaient rien. Tout était noir. Etait-ce cela, être morte ? Alors pourquoi pas, au moins, je sais que je ne souffrirais pas. Mais, l'homme encapuchoné revint, un sourire se dessinait sur ses lèvres. Je reculai et voulu crier, mais aucun son ne sortis de ma bouche. Surpris, je portai mes mains à celle-ci et essayai de nouveau de parler. Mais absolument aucun son ne sortit.
"_ Cela ne sert à rien, les mots ne te sont d'aucune utilité ici!"
Je sursautai, et regardai l'homme en face de moi. Il se tenait à quelques mètres de là, et me scrutait de ses yeux cristallins. Je me demandai "Qui est-il ?", et fut surprise qu'il me réponde, tout en ne bougeant pas les lèvres :
"_ Je m'appelle Gabriel, je ne suis pas ton ennemie, je communique par la penser donc j'entend tout ce que tu penses..."
Je pensai incertaine.
"_ Que c'est-il passé ?" "_ Cela fait deux ans que tu rêves d'une vie impossible sans te rendre compte qu'elle est réalisable, commença-t-il, alors que rien n'est JAMAIS impossible..." "_ Mais, pourquoi aujourd'hui ?" "_ A quoi pensais-tu avant que cela ne se produise ?"
Je réfléchissai. J'avais du mal, sans savoir pourquoi, à me rappeler de ce à quoi je pensais et encore moins de l'endroit où je me trouvait. Une mine inquiète se dessinai sur mon visage:
"_ Nous n'avons pas beaucoup de temps, continua-t-il, nous avons scruté tout ton esprit pour discerner laquelle de toutes ces vie utopiques te correspondrait le mieux. Et nous avons trouvé !" "_Attendez une seconde, je ne comprend pas, le coupai-je, Pourquoi n'avons-nous pas beaucoup de temps ? Et ces quoi cette histoire ?" "_ Dans quelques instant ta mémoire ne sera que très faible et pour la seconde question... ce n'est pas important d'y répondre Marine..."
J'écarquillai les yeux. Ma mémoire sera effacée ?
"_ Pas totalement, répondit-il ayant perçus ma pensée, Tu te souviendras de ton nom, ton âge et certaines choses te paraîtrons étrange..." "_ Et ma famille, mes amis ? Coupai-je affolée."
Ce fut le silence, et je pus voir dans son regard, comme de la tristesse. Je compris tout de suite. Je ne me souviendrais plus de ma famille. Maman, toi qui m'a portée seule dans ton ventre, qui a été jettée à la rue. Obligée d'endurer toutes les duretées de la vie, seule avec pour seul soutiens tes amis. Jamais je ne me souviendrais toi ? Et mes amis, Pearl, Cassandra, Orgrim... Plus jamais je ne vous reverrait. Et pour quoi ? Pour une vie qui peut-être sera meilleure pour moi, ou qui du moins, me correspondra emplement. Je ne sais pas où ils allaient m'envoyer, mais je me dit alors que cela n'allait peut-être pas être si effroyable... Peut-être que cela sera tel que je l'ai toujours rêvée : Magique. Gabriel me coupa dans ma pensée pour murmurer par pensée :
"_ Es-tu prette ? Le moment est venu..."
J'hésitai un long moment, laissant une dernière fois mes larmes couler pour ceux que j'allais bientôt oublier. Puis enfin, je me redressai et regardai l'homme en face de moi.
"_ Oui... je le suis..."
Alors, tout devins noir et je ne ressentai plus rien. Mes yeux étaient clos, et je ne pensai à rien. Je ne me sentai pas tourner et tomber à terre. J'oubliai.... J'ouvris les yeux, réveillée par quelque chose de doux et froid qui tombait petit à petit sur mon visage. De la neige, c'était de la neige. Je venais d'un monde où il faisait chaud et maintenant je me trouvais dans un monde où la neige était présente. Je bougeai les doigts, qui étaient gelés. Mes mains attrapèrent la neige au sol et je me rendis compte que celle-ci étaient différentes. Je tournai a tête, les yeux toujours fermés pour me rendre compte que mes cheveux aussi étaient différents. Enfin, j'ouvris délicatement les yeux pour scruter le ciel, où de gracieux flocons tombaient petit à petit sur le sol enneigés. Alors, je me rendis compte que tout en moi me semblait différent, et pas seulement moi, mais aussi tout ce qui m'entourait. Je m'asseyai, regardant autour de moi, pour m'appercevoir que j'étais dans une fôret. Une magnifique et grande fôret. Puis, mon regard se détourna pour contempler mes mains. Celle-ci étaient jolie munies de long doigt et de grands ongles. Puis je touchai mes cheveux. Ils étaient doux et d'un noir de jaie ( alors qu'avant ils étaient chiant, gras ET secs et blond foncé ). Enfin, je remarquai ma tenu et j'en fus éttonée. Je portais une grand robe blanche quelque peu déchirée. J'essayai de me lever et trébuchai. Je fis une seconde tentative et réussis à me lever. Je commençai à marcher, un pied après l'autre et finis par marcher d'un pas régulié et doux. Je me balladais, pied nus, parmis les arbres, sereine. Je contemplai la manificence de la fôret qui s'offrait à moi. Mais tout d'un coup, je pris conscience que j'avais froid et me demandai où je pouvais bien me trouver. Mais le plus important, je me demandai : "D'où viens-je ? Où suis-je ?" Je commençai à avoir peur quand j'entendis un craquement proche retentire. Des bruits de pas s'approchaient de moi. Je paniquai, je ne savais pas quoi faire. Je décidai de courir, ne sachant pas où j'allais. Les bruits de courses se rapprochèrent. Cette fois j'en étais sûr, on me suivait. Je me griffai le visage avec une branche, entraînée par ma course. Je commençai à fatiguée et regardai derrière moi. Ce fut une erreur. Je me cognai à un caillou et tombai à la renverse, la tête la permière dans la neige. Je me sentais faible. Mes paupières devenèrent lourdes et je ne pus dicerner que quatre silhouettes s'approchant de moi. Alors, je sombrais dans l'inconscience... Je me réveillai je ne sais combien de temps plus tard. Il ne faisait plus froid et je ne sentais plus la neige m'entourer. J'étais allongée, non pas sur un sol gelé, mais sur ce qui me semblait être un lit ou un canapé. Quelque chose de doux et soyeux me recouvrais, une couverture. Et ma tête était soulevée pas quelque chose de moux et d'agréable, un oreillé. Je battis doucement des paupières et entendis des voix à côté de moi. Je ne comprenais pas ce qu'elles disaient, mais j'avais l'étrange impréssion de les connaîtrent. Mais pourtant, je ne cessais de me répéter que ces voix, ces personnes, ne devraient pas être avec moi. Que c'était impossible. Puis je sentis une main serrer la mienne. Elle était un peu froide, certes, mais elle était douce et rassurante. Une autre main tattait mon front, sitôt du côté droit sitôt du côté gauche pour se poser au milieu. La personne qui me faisait cela parla et je pus m'appercevoir qu'il s'agissait d'une femme. Puis elle s'adressa à moi, d'une fois douce :
"_ Nous savons que tu es réveillée ma chérie, ne t'en fais pas, tu ne risque rien."
J'ouvris doucement les yeux et regardai les plafond. Celui-ci était d'un gris terne et les nombreuses lumières qui y étaient accrochées pendaient au dessus de nous. Mais d'ailleurs, combien d'individus m'entouraient. Je regardai la jeune femme qui était à mes côté. Elle était belle, très belle, trop belle, et ses yeux étaient d'un doré presque iréelle. Elle était petite et ses cheveux d'un maron chocolat tombaient en haut de son dos. Elle me souriait soulagée de me voire en vie. Puis mes yeux dévièrent vers les autres personnes présentent. Non loin de la jeune femme qui me tenait toujours la main, il y avait un homme, tout aussi beau qu'elle . Il était grand avec des cheveux d'un blond platine. Je fus de nouveau boulversée par la couleur si envoutante de ses yeux doré comme le miel. Puis il y avait un jeune homme et une fille. Lui plutôt grand et elle plutôt petite. Elle avait les cheveux bruns court coiffés en pic sur sa tête et lui avec les cheveux blond mi-long, et tout deux avaient aussi des yeux d'un magnifique doré. Je ne remarquai pas tout de suite celui qui restait près de la porte, isolée. Il était un peu plus grand que le jeune garçons blond mais il était tout aussi beau. Ces cheveux d'un roux presque chatain étaient coiffés en bataille. Je remarquai tout de suite que la couleur de ses yeux n'étaient pas or mais d'un noir profond. Tous étaient plus beau les uns que les autres et tous étaient d'une paleur sans égale. Malgré cela, je ne pus m'empêcher de contempler ce garçons, à l'écart me scrutant de ses yeux noirs. Celui-ci, me regardait avec un air grave, dur et plein de haine. Je ne compris pas pourquoi et détournai la tête. A présent je regardai celle qui me tenait encore la main gauche.
"_ Où suis-je ? demandai-je enfin d'une voix faible, Qui êtes-vous ? " "_ Je m'appelle Esmée et tu es ici chez toi, me répondit la femme à mes côté d'une voix douce. "
Elle sourit tendrement et je ne pus m'empêcher de lui rendre celui-ci d'une simple grimace. Je m'asseyai et demandai en les regardant tous, sauf le mystérieux aux yeux noirs.
"_ Pourquoi suis-je ici ? " "_ C'est assez compliqué, répondit l'homme au côté d'Esmée, nous t'avons retrouvée dans la fôret complétement paniquée." "_ J-je, bagayai-je, J-je ne m-me souviens de rien..." "_ Ne t'en fais pas, tu es sous le choc, me consola Esmée."
L'homme écrivit quelque chose sur un calpin et je le regardai d'un regard plutôt interrogateur.
"_ Je m'appelle Carlisle, et voici mon fils Jasper et ma fille Alice, celle-ci sera toujours près de toi si tu en as besoin..."
J'hochai la tête et regardai le jeune homme aux yeux noirs, qui continuai à me scruter. Voyant mon anxiosité, Carlisle rajouta:
"_ Voici Edward, il est aussi l'un de mes fils, ne t'en fais pas pour son humeur, il est assez... lunatique." "_ Nous avons aussi un autre fils et une fille de plus, mais ils ne sont pas là pour le moment, s'empressa d'ajouter Esmée."
Alice s'approcha de moi d'un pas léger et gracieux. On aurait presque pensée qu'elle volait. Je la contemplai davantage. Elle avait de jolie focette et lorsqu'elle souriait, elle faisait penser à une petite fille. Je restai silencieuse et remarquai que Edward, le mystérieux garçons aux yeux noirs, avait disparue.
"_ Bonjour, je suis Alice, s'exclama-t-elle d'une voix pleine de malice, nous deviendrons de grandes amies."
Esmée se leva et prit la main de son mari.
"_ Nous allons te laisser au soins d'Alice. Il est hors de question que tu restes aussi mal en point... Jasper, sortons "
Celui-ci sortit de la pièce et je me retrouvai seule avec Alice. Celle-ci semblait toute excitée à l'idée de "jouer" avec moi. Elle me fit me lever et nous allâmes dans ce qui devait être sa chambre. Grande, très grande même, les murs étaient d'un très jolie violet et les plafond était d'un joli rose. Ce qui m'éttona tout de suite, c'est que la chambre était dénuée de lit. Seulement un sofa, d'un très jolie mauve, était posé au fond de la chambre, collé au mur. Quelques meubles blanc, contenaient des livres et des Cd ainsi que quelques magasines de mode. Je rentrai dans cette chambre, qui me semblait beaucoup plus grande de l'intérieur. Alice me fit rentrer dans la salle de bain et me demanda d'enlever ma guenille. J'hésitai un peu, plus ou moins génée et me décidai à me dénuder pour entrer dans la baignoire. Celle-ci était imense et elle était étrangement, de couleur rose. Cela me fis sourire. Alice fit couler l'eau chaude du bain et me frotta le dos pendant que je me lavai les cheveux. Après cela, elle me passa une serviette pour que je la passe autour de ma taille et elle sortit le sèche cheveux. Je m'assis sur une chaise et fus surprise de voir que Alice avait sortit les ciseaux. Je commençai à paniquer ce qui lui provoqua un éclat de rire.
"_Ferme les yeux, je veux te faire la surprise"
Sur ceux, je fermai mes yeux et entendis les bruits du ciseaux coupant mes cheveux d'un noir de jaie si magnifiques et soyeux. Quand je rouvris les yeux, je hurlai voyant la personne qui était devant moi. Je murmurais " Qui est-ce ? C'est moi ?" Pour seule réponse, Alice rigola. Je regardai mon visage et mes cheveux. Je me trouvais plutôt jolie, avec de jolie trait, et dénuer de boutons horrible.Mes cheveux étaient coupés en un beau dégradé avec un frange droite et épaisse. Mais quelque chose me choqua dans mon visage mais quoi. Je fronçai les sourcils et regardai tout les recoins de mon visage. Et alors, j'écarquillai les yeux, et portai mes mains à ma bouche, estomaquée devant le miroir. Mes yeux! Mais qu'avaient-ils ? Pourquoi étaient-ils de cette couleur ? Pourquoi étaient-il .... Violet... ou rouge.. un peu des deux... violet/rouge... pourquoi !? J'essayai de me mettre le doigt dans l'oeil, croyant que je portai des lentilles, mais non rien ne venait. J'étais tout à coup horrifiée par la laideur de mes yeux. Une larmes vint couler sur ma joue et je mis mon visage dans mes mains, cachant mes pleures.
"_ Mais pourquoi tu pleures ? S'inquiéta Alice" "_ Mes yeux... hoquetai-je... Ils sont... affreux..."
Alice se plaça devant moi et me pris les mains, pour que ainsi, je lui fasse face. Elle plongea son regard dans le miens et me dit sérieusement.
"_ Ne dit pas de bêtise, tu as les plus beau yeux qui me soit donnée d'avoir vus... Ne laisse pas une anormalité de couleur te gacher la vie, cela te rend unique..."
Je réfléchissai à cela et me regardai de nouveau dans la glace. Oui, cela me donnait une genre, un genre unique. Je me calmai et séchai mes larmes. Enfin, je me rendis compte que Alice me dévisageai intensement. je me demandai ce qu'elle pensait mais elle se leva et partit de la salle de bain. Je la suivai, toujours en serviette et m'assis sur le sofa. Elle entra dans une autre salle et y resta un moment. J'entendis des bruits de ceintres, de tissus et Alice qui parlait et commentait toute seule. Puis elle revint, une pile de vêtements dans les bras et les posa à côté de moi. Nous essayâmes certains vêtements. Heureusement, je faisais un peu près la même taille que Alice. Tout d'abord, j'esseyai une tenue un peu trop habillée à mon gout. C'était une mini-jupe noire avec un dos nu rouge en satin. Ensuite, j'enfilai une tenue qui ne me plaisais tout simplement pas. C'était un jean à patte d'eph' rouge avec un chemisier blanc. Enfin nous trouvâmes une tenue qui était tout à fais mon style. C'était un slim gris délavé, avec un tee-shirt à manches longues à rayure vert et blanche. Cela m'allait comme un gant. Pour finir, Alice me pretta un bracelet vert et une paire de boucle d'oreilles pendante en argent. Une fois tout cela fais, elle m'entraîna de nouveau dans la salle de bain, pour sois-disant me maquiller. Elle me mis un petit peu de far à paupière gris foncé qui ne se remarquait qu'à peine et un peu de blush pour donner bonne mine. De retour dans la chambre, elle recula pour me contempler. Satisfaite, elle me pris dans ses bras et sauta partout en ajoutant que je sentais "bon". Je n'eu pas le temps de me rasseoir qu'elle me tira pas le bras pour me placer devant un grand miroir. Je ne me reconnaissai davantage pas. Une jeune fille très jolie aux belles formes était en face de moi. Je me tournai dans tout les sens et ne pus m'empêcher de sourire. Fière d'elle, Alice alla à son tour se changer et opta pour un pantacourt blanc et un chemisier rouge. Enfin prêtes, elle sortit de la chambre et me tendis la main. Quelque peu anxieuse je la lui pris totalement paniquée. Comment allaient-ils réagir face à moi, peut-être n'allaient-ils pas m'aimer. Tout cela me terrifiais plus que tout. Je marchai d'un pas hésitant et en profitai pour regarder à travers la baie vitrée. Il neigeait toujours dehors et la fôret était juste à côté. Je regardai ensuite la maison, remplie de tableau posés sur un mur d'un blanc propre. Alice m'entraina dans un couloirs et nous descendîmes les escaliers. En bas, j'entendis des gens parler. Je reconnus la voix de Carlisle et de Esmée mais trois autres m'étais totalement inconnue. Les deux autres membres de la famille devaient être là. Nous arrivâmes dans la salle principale et nous entrâmes dans la cuisine. Deux personnes se disputaient, du moins, une personne s'enervait. C'était Edward, qui grognait sur son père des paroles à peine perceptibles. Je ne put seulement entendre:
"_ Carlisle, elle ne peut rester ici!" "_ Tu veux qu'on la jette dehors c'est cela ? Non, même si c'est dangereux, elle restera avec nous, répondit Carlisle d'une voix calme" "_ Mais..." "_ Chut, la voilà! chuchota Esmée"
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