La nuit pointait son nez, et la lune montrait son étrange couleur bleutée dans le soir fatidique du 31 Octobre. Le vent soufflait à en rompre les branches et la glaciale fraicheur du soir faisant des taches verglassantes sur le sol. Les flammes des bougies chavirèrent dans la demeure des Nuremberg, riche famille norvégienne venue s'installer par hasard sur les terres qu'aufraient Mystic Fall's. A la place des flammèches rouges qui couronnaient les bougies de cire, se trouvaient des flammes étonnament hautes d'une couleur bleutée comme la lune. Un homme d'environs une trentaine d'année se trouvait près de cette petite servante allongée sur le sol. Une femme agée presque du même âge que l'homme à l'allure chevalière . Elle était habillée dans une longue robe soyeuse, d'un rouge sang. Je n'étais pas sa fille, mais je savais que je voulais lui ressembler, non pas à cette femme allongée sur le sol en train de me laisser vivre à l'air libre. Enfin, l'air libre c'était beaucoup dire.

Cher Journal, cela fait 7 ans que je suis ici. Je regardais attentivement si je ne faisais aucunne fautes. En effet, tenir un journal me permettait de ne pas faire trop de fautes d'orthographes dans l'écriture des potions et des sortilèges. Je ne sais pas par quoi commencer . Je suis dans la cave comme à chaque fois, tu sais, cette cave qui est ma maison. Je ne comprend pas pourquoi monsieur Nuremberg et madamme Nuremberg ont autant voulut que je reste la cave et que je ne me balade pas dans les autres pièces de la maison. Ils disent que mon destin est d'être la plus grande sorcière de tout les temps. Pourquoi pas après tout, mais j'ai l'impression parfois, d'être une bête de foire. . Je lachais mon journal et le posais près d'une pile de livre. J'étais dans cette pièce depuis 7 ans déjà et j'étais presque sûre de connaitre presque la totalité des sortilèges et autres doctrines magiques qui se trouvaient sur l'armoire de gauche et celle de droite. En effet, j'avais eu assez de temps pour connaitre tout cela. Hors il y'avait encore d'énormes armoires un peu partout dans la longue cave chauffée par un sortilège. Ma mère - biologique -, était une servante des Nuremberg et elle était aussi une sorcière chargée de la protection de Madamme Nuremberg et de son mari. J'étais la fille adoptive de ce couple de norvégiens riches. J'étais entrainée , chaque jours dans ma cave à maitriser des sortilèges et enchantements, comme si j'étais un soldat qu'il fallait entrainer à devenir le meilleur. Je ne me doutais pas du destin " grandiose" qui m'attendait.

" Réfléchissons .. le mieux, pour délivrer quelqu'un d'un sortilège assez puissant, c'est de visualiser ce sortilège et de claquer des doigts ! " Les sorciers et sorcières autour de moi me regardaient avec des yeux ahuris. J'étais la plus puissante sorcière de mon age, et il semblait même que j'allais bientôt dépassés les sorcières les plus anciennes. J'aimais regarder leurs yeux s'écarquiller lorsque je lançais ce genre de phrases comme si cela était si facile que n'importe qui pouvait réussir le coup du siècle. Je regardais une nouvelle fois l'assemblée. " Très bien , vous allez me lancer les sortilèges d'emprisonnement que vous connaissez le mieux, et je tacherais de me délivrer le plus vite possible. " Je ne savais pas, à ce moment là que j'entrais dans un piège. Un doux piège qui allait se refermer sur moi. Je me relevais, ma longue robe blanc cassé qui drapait le sol. Je me positionnais à quelque mètres loin d'eux et me préparait. Des livres volèrent dans la pièce dans tout les sens et se tournait autour de moi, se jetant parfois sur moi pour se remettre dans leurs tourbillons qu'ils avaient créer. Très bien, je positionnais mes mains en avant et éjectais grâce à un sortilège de télékinésie les livres vers le plafond, ils retombèrent tous rapidement. Des armoires se tournèrent alors avec rapidité vers moi et détournèrent mon attention. Je n'eu pas le temps de voir un abris psychique qu'ils avaient créer tout autour de moi. Je me retrouvais donc bel et bien emprisonée. Cela m'interloqua, c'était comme si, ils avaient préparés un plan à l'avance et avaient prévues mes moindres fais et gestes. Je n'aimais pas ça. Je me tournais alors vers eux. Ils étaient tout sourir. "Très bien ... ce sortilège n'a pas assez de puissance pour me retenir. Mais soit, il est tout de même d'une certaine puissance. " Je fermais les yeux, cherchant la faille de cette prison invisible. Je savais une chose, que les prisons de la sorte si elles étaient bien faites pouvaient durer presque cinq siècles. C'était bon à savoir, mine de rien. Cependant celle ci était grotesquement faites et je savais comment la briser. Je me concentrais, visualisant l'énergie magique que recelait mon corps. Une bourrasque se fit sentir dans la prison et je sentais le mur faiblir, puis faiblir encore et encore. Je claquais des doigts, pour faire une petite mise en scène, et la seconde d'après, le mur explosa. " Vous avez compris comment faire ? Bon, il serait temps que vous partiez. Je supposes que vous pouvez disposés. " Je levais les mains et rangeait tout en un clin d'oeil. Il me fallait trouver un livre maintenant, et je savais inconciamment qu'il allait falloir que je trouve cette incantation.

17 ans, j'avais enfin mes 17 ans. J'allais être désigner comme la plus grande sorcière de tout les temps. Tout du moins, les sorciers de l'assemblée en avaient décidés ainsi. Je devais me préparer et mettre une longue robe d'une blancheur éclatante. Mes longs cheveux bruns tombant dans le bas de mon dos. Mes pieds étaient nus et une odeur de lys flottait autour de moi. Je regardais une nouvelle fois mes notes, après tout j'allais devoir sûrement faire un discours. Un long discours avec un peu de chance. Je me regardais une nouvelle fois dans une flaque d'eau et montais les marches des escaliers qui me menaient dans la véritable demeure. Hors de la cave donc. Je toquais à la porte, ma mère adoptive vient me serrer dans les bras et ma mère biologique me regarda avec un air .. désolé. Je ne comprenais pas pourquoi, mais je tachais de lui rendre un sourire. J'avançais doucement, la lune bleue montant dans le ciel. Elle était symbole de ma naissance, mais cette fois ci, elle semblait triste et comme ma mère elle semblait presque effrayée. Je marchais en suivant les traces de pas dans la forêt, c'était ma première sortie dans le monde extérieur. Autour de moi volait une chouette, hululant à la lune. Je souris quelque peu sur mes gardes, en effet je ne savais pas exactement ce qui pouvait se trouver autour de moi. Je commençais à en avoir marre de marcher, du au fait que les épines des pins s'enfoncaient dans mes pieds et que la douleur n'était pas agréable. Je décidais donc de prendre exemple sur cette chouette, en volant. Gaspiller de l'énergie inutilement ne m'avançerait à rien. Je finis par ne pas me mettre à voler mais faire léviter toutes les épines de pins qui étaient sur mon chemin. J'arrivais devant la grotte, cette grotte qui allait je le saurais plus tard être ma prison. Ils me demandèrent d'entrer dans la grotte et de me préparer à mon couronnement. J'entrais donc et me retournaient alors vers tout les sorciers les plus importants réunis autour de la grotte sombre. " J'aimerais faire un .." ma voix s'était casser lorsque je les avaient vus lever ensemble leurs mains et que j'avais vus les parois de la grotte s'effondrer petit à petit. Je tentais d'avancer , pour au moins courir mais un mur invisible me retenait. Je regardais autour de moi, abasourdis par la scène qui se jouait devant moi. Etait-ce un entrainement ? Non, cela n'en avait pas l'air. Je tentais de capter leurs pensées, de crier ma détresse mentale. Ils eurent tous un sourire en coin, je compris alors. L'entrainement et la cave. J'avais été entrainée à être la plus puissante des sorcières pour rester vulgairement enfermée dans une grotte?! Je lançais un pourquoi mental, et l'écho qui revient le plus souvent était que j'étais devenue trop puissante. Ils pensaient donc que j'étais une menace ? Soit .. " Le temps s'achève sur un étrange athmosphère, afin que ma vie soit sauvée et que ma vengeance naisse, je tombes dans une paresse." L'incantation dites, je regardais la lune bleue et visualisais des millions d'étoiles tourbilloner autour de moi et me plongeant dans un sommeil de longs siècles.

La paresse, un êtat presque suportable. Vous regardez votre vie défilée à une lenteur des plus horribles, votre haine augmente de jour en jour pour la cause de cette paresse. Il vous prend souvent l'envie de vous lever mais bizarement c'est impossible. Alors vous visualiser, ce jour et encore ce jour et toutes les années qui ont précédées ce jour. Et au bout d'un moment vous ouvrez doucement vos yeux, encore endormis. La poussière aglutiner dans vos poumons ressort et vous toussez, vous éjectez la poussière qui s'était installer dans votre être. Vous regardez autour de vous, ne pouvant encore vous levez. Le problème, c'est que vos muscles n'ont plus fonctionner depuis déjà plus de quatre cent ans. Votre magie bouillone en vous, mais n'ose sortir pour le moment. Votre force vitale n'étant pas suffisante à vous maintenir en vie si vous l'utiliser. Vous avez envis de pleurer mais vous ne pouvez pas, c'est encore au dessus de vos forces . Vous savez au fond de vous que c'est bientôt la fin, que votre sortilège n'a fonctionner que pour vous maintenir en vie jusqu'à l'ouverture de la porte de sortie, qu'il ne subsiste pas pour vous faire vivre ensuite. Comment faire, alors que seule la magie a été votre quotidien. C'est alors que votre voeu se réalise, l'odeur alléchante de nourriture, vous vous relevez mais tombez. Vous décidez alors de ramper et de laisser votre robe presque détruite par le temps se déchirer en lambeaux sur le sol. Vous arrivez alors près d'eux. Comment appelles t-on ça en 2010 ? Des campeurs. Ils vous voient et vous prenant en pitié vous font boire, de l'eau. Puis ils vous donnent de leurs nourriture pour vous remettre sur pieds. Ils sortent alors une petite machine apeller téléphone. Ils apellent des secours pour vous. Vous êtes aptes à utiliser la magie alors vous vous relever, et comme si s'était une attaque vous tendez les bras et leurs peaux s'arrachent subitement à leurs corps, faisant plus que saillir leurs muscles. Ils crient, avec une douleur sans pareille et vous souriez, parce que votre vengeance ne fait que commencer...

Je relevais la tête, en passant au dessus des corps du couple qui avait si gentiment voulut m'aider. J'étais sortie de ma prison et cela me procurais un bien fou. Je regardais les habits de la jeune femme et décidais de les enfiler,me retrouvant avec une veste en cuir , un ... t-shirt rose pâle et un pantalon slim. Des chaussures courtes apellées ballerines étaient à mes pieds. Il ne me restait plus qu'à m'adapter et à ruminer ma tendre vengeance.

On ne m'a jamais réellement posé la question de comment je me voyais. Peut être parce que cela n'avait pas réellement d'intéret pour la plupart des gens t'en que j'étais la sorcière parfaite. Je suis une personne calculatrice et manipulatrice, en vérité c'est cette paresse qui m'a fait devenir comme cela. J'étais une jeune fille tout a fait gentille auparavant, peut être pas douce mais j'étais gentille et je révais plus de m'enfuir pour voir le monde extérieur que de devenir une sorcière. Pourtant, j'ai appris a être quelqu'un d'autre et a enfouir la part gentille de moi au plus profond de moi, elle est enchainée à une pierre, protectrice de mes secrets.

Du côté vestimentaire, je suis plus longue robes, mais il semblerait que ma petite rebéllion d'adolescente me fasse porter des pantalons, devenus apparement à la mode à cette époque et portable pour les femmes. Je suis aussi une sorcière puissante, très puissante et sans scrupule. On pourrait penser avec le caractère que j'ai que je suis un vampire, mais je ne le suis pas.

PSEUDO : NESSALYN AGE : 16 ans AVATAR PRIS : Jessica Lowndes COMMENT AS TU ATTERI ICI : Google, mon ami (: CE QUE TU PENSES DU FORUM : Magnifique mais quelques fautes par ci par là. FICHE : [X] Terminé [] En cours UN PETIT MOT : Love you (L)